D.D. Palmer s’installe en tant que “ chiropraticien.”
La Palmer School of Chiropractic, première institution d’enseignement chiropratique, ouvre ses portes.
L’État du Kansas est le premier État américain à reconnaître et autoriser l’exercice de la chiropraxie. La Louisiane sera le dernier à le reconnaître en 1974.
L’Alberta est la première province à délivrer une licence d’exercice chiropratique au Canada. L’Ontario suit en 1925. Terre-Neuve sera la dernière en 1992.
Le Conseil d’État Américain des Examens Chiropratiques est créé avec pour mandat de fournir des normes communes à l’autorisation d’exercer. Il sera rebaptisé Fédération of Chiropractic Licensing Boards (FCLB) en 1974.
Le canton suisse de Zurich devient la première juridiction en dehors de l’Amérique du Nord à autoriser la pratique de la chiropratique.
La Fondation pour l’Education et la Recherche en Chiropratique (FCER) est créée et devient le principal organisme de la profession pour le financement de bourses d’études supérieures et la recherche.
Le US National Board of Chiropractic Examiners (NBCE) est établi pour promouvoir la cohérence et la réciprocité entre États.
Le Conseil en Éducation Chiropratique (Council on Chiropractic Education) est reconnu par le gouvernement fédéral américain comme organisme d’accréditation pour les écoles chiropratiques. Cela conduit à la création d’agences affiliées en Australie, au Canada, en Europe et plus récemment en Amérique latine.
En Nouvelle-Zélande, le rapport de la Commission d’enquête sur la chiropratique est publié. Ce fut la première commission gouvernementale à adopter une procédure juridique complète sur le rôle de la profession chiropratique.
Le jugement définitif du procès Wilk contre plusieurs associations médicales américaines ouvre la voie à une coopération beaucoup plus étroite entre le monde médical et celui de la chiropraxie.
La Fédération Mondiale de Chiropratique (FMC) est constituée. La FMC, dont les membres sont des associations nationales de chiropraticiens dans plus de 85 pays, est admise à des réunions officielles avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à titre d’organisation non gouvernementale (ONG) en Janvier 1997.
Le rapport Manga est le premier rapport gouvernemental canadien publié par des économistes spécialistes en santé afin d’étudier le rapport coût-efficacité des services chiropratiques. Il recommande la prise en charge des patients souffrant de lombalgie en première intention par les chiropraticiens, un rapport coût/éfficacité positif, ainsi que la pratique sécuritaire des soins. Ce dispositif permet d’économiser des centaines de millions par an en coûts directs de soins ainsi que des prestations d’invalidité du travail.
Le Gouvernement Américain, parrainé par des panels d’experts en développement de recommandation de bonne pratique pour la gestion des patients atteints de maux de dos (Agency for Health Care Policy and Research) et au Royaume-Uni (Clinical Standards Advisory Group) publieront les premiers rapports démontrant que la manipulation est une méthode éprouvée et efficace pour la majeure partie des patients souffrant de maux de dos en aigus
Le Gouvernement américain soutient financièrement, avec des fonds publics, un programme permanent de recherche chiropratique dirigé par les National Institutes of Health.
Première année où l’on dénombre plus d’écoles de chiropraxie à l’extérieur des États-Unis (17) qu’à l’intérieur (16).
Le Congrès américain introduit des services de chiropratique dans le système de santé militaire puis, en 2004, dans tout le système de soins des vétérans.
L’OMS publie ses lignes directrices sur la pratique de base et la sécurité en chiropratique, en recommandant des normes éducatives pour la reconnaissance et la réglementation de la chiropratique dans tous les pays membres.